Le récit « Toi-Nous » : le virtuel et le réel en littérature

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Vu par le regard d’un auteur et artiste, L. F.

Rappel du thème : une histoire d’amour. Une passion aux débuts fulgurants malgré les multiples obstacles.Puis, chez elle, l’affadissement brutal. Inexpliqué, incompréhensible pour lui, voire pour elle. Des caractères de feu. La volonté commune d’y croire encore qui les fait « repartir » 22 fois après 22 ruptures. L’impossible, l’ambiguïté, le vouloir, l’irrémédiable : vous trouverez toutes ces étapes de la passion amoureuse dans ce court opus que Claude Colson nous livre en alternant, une fois encore – mais encore différemment – trois genres littéraires. La violence des sentiments, la force des mots.

Une page de ce blog est consacrée au livre ici (avec modalités d’acquisition éventuelle).

La perception de L. F. : Je me suis déjà posé cette question en littérature : comment la notion de commmunication virtuelle va-elle survivre et être illustrée dans la littérature du 21ème siècle ? Lire la suite « Le récit « Toi-Nous » : le virtuel et le réel en littérature »

Dernières péripéties pour l’arrivée de « Deux, Pair et manque », roman court

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Bonjour, amis lecteurs,

Comme je l’expliquais dans mon dernier article (du 31/10), mon neuvième livre est paru (vous pouvez y lire une petite description du livre).

Il a eu quelques difficultés in fine pour parvenir jusqu’à moi. Je retrace sommairement son parcours ; l’envoi aux éditions Langlois Cécile, qui l’ont retenu, a eu lieu le 1 er novembre 2014. Il a fallu 5 mois pour l’acceptation du texte et l’accord sur le contrat, ce qui est tout à fait honnête.

7 mois de plus pour la parution, dont les 2 mois d’été, ont été nécessaires pour « finaliser » l’ensemble : corrections, graphisme : là encore, ce n’est pas excessif, même si l’auteur souhaite toujours que les choses aillent plus vite. L’auteur se doit d’être un être (pardon 🙂 ) patient. Lire la suite « Dernières péripéties pour l’arrivée de « Deux, Pair et manque », roman court »

« Deux, Pair et manque », un roman court

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Il arrive et devrait être disponible aux éditions Langlois Cécile d’ici une dizaine de jours !

C’est le neuvième livre édité sous ma signature. Il s’agit cette fois d’une roman court traitant d’ « une question d’identité » (sous-titre), une recherche effrénée sur une filiation tenue cachée.

125 pages, format A5, 13 euros.

la quatrième de couverture : Lire la suite « « Deux, Pair et manque », un roman court »

Une bonne critique du récit « Chemins croisés »- ed. de la Rémanence

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Missnefer13500, le 04 octobre 2015 (sur Babelio)

Merci à Babelio et aux éditions Rémanence pour m’avoir permis de découvrir ce roman dans le cadre de Masse critique
Changement de style litteraire avec cette lecture autobiographique, et un petit plongeon dans les années 50, que je n’ai pas connu , pas encore née. Pour autant, j’ai apprécié cette lecture, avec un peu de nostalgie, car je me suis revue dans les préaux d’école, et j’ai connu cette ambiance et ces amitiés simples, ces jeux de rue, le catéchisme, (10 à 15 ans plus tard c’était encore comme çà) le tout de manière un peu différente bien sur , je suis une fille.
J’ai énormément goûté au style de l’auteur qui sait rendre les ambiances, et les décors. Un style fluide agréable et riche en vocabulaire ce qui rend le récit très agréable.
Nous suivons donc l’auteur , comme si nous feuilletions son album photo personnel, de la mort de Pierre en passant par leur jeunesse commune, sa vie d’adulte et jusqu’à sa retraite et nous revenons au décès de son ami d’enfance. la boucle est bouclée, Il parait que c’est ainsi que se doit être.
Il nous montre comment nos chemins se croisent et se décroisent au fil du temps, certaines amitiés en font les frais , d’autres perdurent, même si les rencontres ne sont pas toujours très régulières .
C’est très nostalgique, et pas triste pour autant, c’est frais et plein de vie, de ces souvenirs de jeunesse, de cette insouciance qui lui est propre . Puis au fil des ans , le terme de notre vie se profile à l’horizon et c’est avec le départ des autres que l’on en prend conscience. Pourtant ne peut on pas dire comme Emily Brent dans 10 Petits nègres « Au printemps de la vie nous sommes déjà morts « ? tellement il est vrai que dès notre naissance nous mourrons chaque jour.
Cette lecture nous interroge sur les choses essentielles de la vie
Que reste- t-il de l’ homme après sa mort , comment le conserver dans les mémoires ?
Pourquoi pense -t-on que le rythme de la vie s’accèlere ,passé un certain age ? Enfant nous souhaitons grandir vite, devenir adulte et à l’âge adulte, nous rêvons de notre enfance passée.
Ce roman traite également des changements inhérents au modernisme et les répercussions positives et négatives. Pour l’auteur qui a connu un tout autre mode vie plutôt convivial, c’est assez négatif et à vrai dire je le suivrais assez sur ce terrain, pour autant, c’est un bon sujet à débat.
Pour terminer je dirais que la page de couverture est vraiment belle, et c’est elle qui me fait dire que j’ai l’impression de suivre l’auteur à travers son album photo.
Un livre court de 110 pages qui se lit très vite, touchant et plein d’émotions, une histoire dans laquelle chacun de nous peut se reconnaitre.
NDLR : je le présente entre autres – Dimanche 11 octobre AM : salon du livre de Brétigny sur Orge- 91 – (espace Mandela).
Consultez sur ce blog ou sur FN la page dédiée à mes dédicaces et signatures d’auteur.
(nouvelle couverture pelliculée brillante, nouveau prix : papier 12 euros, ebook 4,99  Chemins croisés)

Podcast de la chronique de « Saisons poétiques en train »

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Merci à Odile Lecouteux, écrivain, et à Radio Culture Dijon qui m’ont offert ce matin une minute trente de chronique de mes Saisons poétiques en train, éditions Hugues Facorat.(réédité depuis aux associations Bernardiennes )

Le podcast

Baisse de prix (livre)

Bonne nouvelle, mon « Chemins croisés », papier, passe de 14,80 à 12 euros. Ebook : 4,99

Pour en savoir un peu plus sur le livre, cliquez sur le lien ci-dessous :

Nouvel extrait de « Aimez-Vous la danse ? novella polardo-sentimentale

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Existe en versions numérique et papier, éditions Hélène Jacob.

« « Aimez-vous la danse ? Même si les cœurs hésitent, emportés par une étrange valse de circonstances, même si les corps se heurtent à l’implacable tempo du destin, la danse se poursuivra…trépidante de vie » De l’amour, du polar, de l’élégance, entrez dans la danse de Claude Colson. »  une lectrice.

Les 15 premières pages sont sur youscribe ; sur ce blog, dans la rubrique « Plus sur mes livres » vous pouvez aussi trouver les chapitres 22 et 23.

Chapitre 21

 

 

Mercredi matin, huit heures quarante-cinq.

Jean-Pierre avait réfléchi toute la nuit, ses soucis étaient multiples. Il téléphona à Manuel Garcia, dit Manito le Réglo. C’était un truand niçois, depuis longtemps repenti ; les deux hommes s’appréciaient. Manito avait été un bandit à l’ancienne, une sorte de Robin des bois qui ne détroussait que les riches. Jamais il n’avait fait usage de son feu, sauf une fois, lors d’une poursuite difficile où l’un de ses coéquipiers avait voulu tirer précisément  sur… Jean-Pierre.

Manuel l’avait blessé légèrement pour l’en empêcher puis l’avait traîné dans sa voiture toute proche – pas question pour Manu de laisser un des siens sur le carreau  ;  ils avaient réussi à échapper aux poursuivants. Manito, comme tout homme du métier, était un chauffeur hors pair

Jean-Pierre lui en avait été reconnaissant à vie et eut même l’occasion de payer sa dette en le laissant une autre fois s’échapper d’une souricière tendue par René. Ce n’est d’ailleurs que grâce à la bienveillance de celui-ci qu’il avait échappé à l’I.G.S, sur ce coup-là.  Depuis, l’estime entre Manu et Delsault était réciproque. Garcia avait environ cinquante-cinq ans. Sur la fin de sa carrière il avait changé de terrain de jeu et fait quelques casses en Italie avec Julio Malese, un petit mafioso plus expéditif. Néanmoins les deux hommes s’étaient toujours bien entendus jusqu’à ce que Manu se range  des voitures. Il fut fort étonné lorsque son téléphone sonna et qu’il entendit :

  • Allô, le Réglo ?
  • Ah, c’est toi, le Chef, ou plutôt Broussard ; dans notre camp c’est plus souvent comme ça qu’on t’appelait. Je me demandais qui pouvait me téléphoner  si tôt. On est dans le sud ici, t’as oublié ?
  • Écoute, Manu, je ne rigole pas ; j’crois que j’vais avoir besoin d’toi.
  • Qu’est-ce qui t’arrive, mon grand ?
  • Ben, tu sais, le Tchèque, celui que j’ai mis au ballon il y a   près de cinq ans, juste avant de raccrocher, il est sorti et il est après moi.
  • Sérieux ?
  • Je pense ; il m’a envoyé le cadeau corse, tu vois ?
  • Merde, une tête brûlée, celui-là, toujours en marge et très capable de se mettre tout le milieu à dos. Tu sais que chez nous on n’aime pas les vagues ni  les tours de vis de chez vous quand on s’en prend à l’un des vôtres. Qu’attends-tu de moi ?
  • Je sais que t’es resté en contact avec la mafia du nord, en Italie, la branche mineure. Je voudrais que tu m’arranges un rancard avec l’un des leurs, j’ai dans l’idée de régler ce problème au plus vite.
  • Je ne peux rien t’refuser, Broussard. J’te mets en relation avec mon ex partenaire. Un peu chaud du cigare, mais tu peux lui faire confiance. Mes amis sont ses amis.
  • OK, merci, l’Réglo ! alors j’attends ton coup de fil.
  • Oui, ça ira vite, il faut juste que je m’arrange avec lui.

T’auras très bientôt de mes nouvelles, ça te va ? Mais il va monnayer ses services, tu t’doutes. T’as l’blé, j’suppose. Bon, d’ici là j’envoie un gars qui va t’surveiller d’loin, histoire d’veiller au grain. T’affoles pas quand tu le repèreras, il aura une foulard noir et ne te voudras que du bien.

  • Parfait, Manuel, à très vite alors !

Jean-Pierre raccrocha, satisfait.

Plus et commande éventuelle ici : http://www.editionshj-store.com/products/aimez-vous-la-danse-claude-colson?referer=https://s-static.ak.facebook.com/platform/page_proxy/hv09mZVdEP8.js&source_app=facebook-store&sfb_refer=true

 

Avis de Christine Brunet, auteur, sur ma trilogie aux éditions Chloé des Lys

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Ces 3 livres :Saisons d’une passion ; Léna, une rencontre, Toi-Nous sont parus entre 2007 et 2009. Ils n’ont aucune suite entre eux et se lisent séparément, chacun racontant une histoire individuelle. La parenté est d’une part celle du thème : la passion amoureuse vue par un homme dans la relation homme-femme, et d’autre part celle de la forme : chaque livre mêle le récit, les poèmes en vers libres et le journal intime (cependant la structure de leur association est à chaque fois différente).

Avis de Christine Brunet, auteur de thriller :

« Je suis à quelques heures de mon départ en vacances et, comme un fait exprès, je reçois deux livres de Claude Colson.

Je laisse tout tomber et j’ouvre Saisons d’une passion Je lis et lis puis, incapable d’arrêter ma lecture, je poursuis dans la foulée par Lena, une rencontre… J’ai commencé… J’ai besoin d’aller jusqu’au bout.

1er avril: FIN… « Comment ça, FIN ? Ah non, ça, c’est pas possible! »

Je m’insurge puis je me dis que j’ai dû rater quelque chose… Je tourne les pages… Rien… Non, c’est bien fini ! Je n’en reviens pas. Lire la suite « Avis de Christine Brunet, auteur, sur ma trilogie aux éditions Chloé des Lys »

Extrait de « Saisons poétiques en train »

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 Hugues Facorat Édition a édité, fin décembre 2014, ce livre (réédité depuis aux associations Bernardiennes ) qui comporte environ 20 % de ces petits textes réflexifs, le reste étant des poèmes en vers libres ; tous textes consacrés aux voyages en train. (13 euros)

VOYAGES (suite)

 

Retour de vacances et reprise.

Reprise de train aussi. Le temps est maussade et même si l’on constate une clarté  plus forte qu’il y a quelques jours, l’humidité n’est pas loin. Pas huit heures encore…
Pour démentir mon propos un rayon de soleil vient frapper ma joue alors que je suis penché sur ma feuille.

Je lève les yeux et perçois à ma droite les bâtiments : immeubles, chapelle, pavillons, tous enveloppés d’une lumière jaunâtre. Lire la suite « Extrait de « Saisons poétiques en train » »

Novella légère et un peu grave pour l’été: « Aimez-vous la danse ? »(extrait)

Existe en versions numérique et papier.

« « Aimez-vous la danse ? Même si les cœurs hésitent, emportés par une étrange valse de circonstances, même si les corps se heurtent à l’implacable tempo du destin, la danse se poursuivra…trépidante de vie » De l’amour, du polar, de l’élégance, entrez dans la danse de Claude Colson. »

« Même si les cœurs hésitent, emportés par une étrange valse de circonstances, même si les corps se heurtent à l’implacable tempo du destin, la danse se poursuivra…trépignante de vie ». De l’amour, du polar. Aimez-vous la danse ? de…
editionshelenejacob.com

Lire la suite « Novella légère et un peu grave pour l’été: « Aimez-vous la danse ? »(extrait) »