Claude Colson : un treizième livre.

Ce vendredi 16 juillet est le jour de la parution officielle de ma deuxième nouvelle isolée (après Chronique d’un amour fou sorti il y a deux ans aux éditions Bernardiennes – 8000 mots).

Ce sont cette fois les éditions Lamiroy (B) qui publient aujourd’hui L’acte d’Elsa, dans leur collection Opuscule.

Comme nombre d’entre vous savent, j’écris dans plusieurs genres littéraires : poésie, roman court, nouvelle, récit de vie.

L’acte d’Elsa était à l’origine un texte beaucoup plus court encore (le court, toujours le court, qui reste ma marque de fabrique, avec peut-être la sensualité, du moins m’a-t-on dit un jour). J’ai dû l’étoffer pour me conformer aux exigences de la maison d’édition (5000 mots), tout en gardant – bien entendu – le cœur de l’histoire. Lire la suite « Claude Colson : un treizième livre. »

Toi-Nous (récit sur la passion amoureuse)

Paru en 2009, ce récit autobiographique et original sur l’amour fou vu par l’homme dans la relation homme-femme est toujours disponible (éditions Chloé des Lys, mais pas en juillet ni août), et auprès de l’auteur(monilet@wanadoo.fr). Également  sur commande libraires dès septembre.

Toi-Nous

Un récit.

Une rencontre sur internet.

Une histoire d’amour. Une passion aux débuts fulgurants malgré les multiples obstacles.

Puis, chez elle, l’affadissement brutal. Inexpliqué, incompréhensible pour lui, voire pour elle.

Des caractères de feu. La volonté commune d’y croire encore qui les fait « repartir » 22 fois après 22 ruptures.

L’impossible, l’ambiguïté, le vouloir, l’irrémédiable : vous trouverez toutes ces étapes de la passion amoureuse dans ce court opus que Claude Colson nous livre en alternant, une fois encore (comme dans ses deux premiers livres) – mais encore différemment – récit, poèmes en vers libres et journal intime, ici intimement intriqués, sans séparation des genres.

La violence des sentiments, la force des mots.

 

Précisions sur le contenu et extraits

La structure apparemment chaotique, avec ses trois genres d’écriture, rend compte d’une histoire d’amour qui ne l’est pas moins, mais cette fois dans le réel. Lire la suite « Toi-Nous (récit sur la passion amoureuse) »

Les éditions Lamiroy (B)

Je connaissais cette maison d’édition et jusqu’ici, bien que « spécialisé » moi-même dans le court, je pensais qu’elle ne me concernait pas car elle édfite essentiellement des textes de +/-5000 mots,

Pour moi, c’était ou trop long ou trop court, d’après le volume de mes productions écrites habituelles ( textes archi-courts ou novellas).

Il y a peu je me suis décidé à retravailler une nouvelle brève pour l’amener à ce format, dans le but de la leur soumettre. Et le jour-même, coïncidence ou présage, un de mes amis édités chez eux m’a ensuite sollicité pour son aperopuscule (voir plus bas).

Ils ont plusieurs collections, entre autres :

Opuscule :

La collection Opuscule des Editions Lamiroy est un petit format 10 x 14 cm de nouvelles de 5000 mots paraissant tous les vendredis depuis le 1 septembre 2017 (4€ +1€ de frais de port). Elle est ouverte à tout auteur – débutant ou confirmé.

Adopuscule :

Les adopuscules, tout comme leurs grands frères, les opuscules, sont des nouvelles de 5000 mots destinées à la jeunesse quel que soit l’âge de leurs auteurs.

Cette collection est ouverte à tout auteur – débutant ou confirmé. Le texte doit obligatoirement cibler un public de 10 à 18 ans. (Au delà c’est un opuscule)

Crépuscule :

La collection Crépuscule est la déclinaison POLAR des opuscules.
(Polar avec Pol comme Policier)

– et récemment , Apéropuscule :

Apéropuscule deviendra-t-il roman ?

Les apéropuscules présentent le début d’un roman, en format imprimé, qui sera peut-être édité si cette présentation rencontre un certain succès. (vente sur le site des éditions).

Un nouveau concept pour aider les auteurs à être publiés.

Nous publions – à compte d’éditeur – en format  » opuscule  » des futurs romans :

1. une courte bio de l’auteur (maximum 150 mots)

2. une courte présentation du roman (maximum 150 mots)

3. le début du roman (environ 5000 mots)

Si cet apéropuscule remporte un succès, notre maison d’édition ou une autre maison d’édition pourra le publier.

Comme vous voyez, avec ces collections (liste non exhaustive), c’est un concept d’édition singulier. Personnellement j’ai soumis un premier opuscule qui fut refusé dès le lendemain. Mon ami chez eux me conseilla de ne pas me décourager et deux semaines plus tard j’ai soumis une autre nouvelle, acceptée cette fois au bout de quelques jours,

Son titre : L’acte d’Elsa, Elle devrait paraître le 16 juillet prochain, Une version numérique est également prévue,

Si cela vous dit de tenter votre chance auprès de cette maison… Plus d’infos : https://lamiroy.net/

Balade matinale au lac

Balade matinale au lac

9h30. Le lac s’éveille. Ce ne sont que criaillements d’oiseaux.

Malgré le soleil encore faible de cette fin d’aout, il règne une

agréable fraîcheur.

Impression de début du monde ou tout est possible.

Les cris d’oiseaux sont très divers, tout comme leur faune en

ce lieu.

Sur une minuscule plage enserrée dans les arbres, un

troupeau de canards paresse tout en bougeant sans cesse Lire la suite « Balade matinale au lac »

« La petite boutique des sentiments » en ebook

Mon premier roman court et quatrième livre, littérature sentimentale, paru en 2012 chez le fameux Kirographaires (!), sous le titre « Malgré tout » réédité plusieurs fois depuis en tant que « La petite boutique des sentiments » (dernièrement aux éditions bernardiennes, 12 euros) vient de sortir en ebook chez atramenta sous tous formats et sera également très bientôt sur toutes les plateformes s’il n’y est déjà (3,99 euros) ; Il rejoint ainsi mes autres ebooks (chez d’autres éditeurs) : Deux, pair et manque (roman court) et Aimez-vous la danse (idem).

Lire la suite « « La petite boutique des sentiments » en ebook »

Extrait de Max ou l’art subtil de vieillir (roman 2019)

Vous savez peut-être que j’écris des textes courts : récits de vie, poésie et romans (novellas).

   « Max était préoccupé, Il s’inquiétait de voir son copain s’enfoncer de plus en plus dans la déprime. Il vivait à présent complètement seul depuis que Christiane était devenue une jeune femme qui, c’était logique, vivait sa vie.

Elle avait trouvé de petits boulots successifs, intercalés avec des périodes de chômage et s’était établie en union libre Lire la suite « Extrait de Max ou l’art subtil de vieillir (roman 2019) »

D’eau et de vie – recueil de poésie

Paru mi-février, ce livre a, par la force des choses(confinées) largement raté sa sortie, sans signatures ni salons, aussi me permetté-je de reprendre cette présentation, pour lui donner, peut-être, une seconde chance. Bien qu’écrivant quelques nouvelles, des récits et des romans courts, ce sont mes recueils de poésie qui sont le plus chers à mon cœur : c’est par elle que je suis venu à l’écriture, un cadeau inestimable dans ma vie, à 45 ans et dont les effets se poursuivent jusqu’à mes … 71 ans actuels (ou presque).

 

Voici mon douzième opus, tout juste paru ; il s’agit cette fois de mon deuxième recueil de poésie, « D’eau et de vie ». Il sort aux éditions LC, deuxième ouvrage de moi chez cet éditeur. Lire la suite « D’eau et de vie – recueil de poésie »

Deux, pair et manque en e-book

 

Sorti fin 2015, ce roman sur la recherche de l’identité personnelle (éditions LC, 13 euros) est à présent disponible en version numérique à 5 euros :

Voir et/ou acheter

Trajet de juin (en train)

   Celles et ceux qui me suivent savent que train, en particulier le RER,  a passablement inspiré ma réflexion. Je lui ai consacré l’un de mes livres (« Saisons poétiques en train »- ed. Bernardiennes). 

Voici un

Trajet de juin

Aujourd’hui train prison.
Quand je lève les yeux de mon livre, ce qui me frappe le plus souvent ce ne sont pas les échappées du regard sur le paysage mais des voies encaissées. Le train roule alors entre les arbres serrés qui défilent, formant à ma droite et à ma gauche des murailles vertes qui manquent m’étouffer, tant elles s’approchent.
À d’autres reprises, ce sont les maisons alignées, si serrées que leurs façades crépies semblent des murs de béton.
Atmosphère automnale en ce mois de juin.
Semblant de clarté, grise.
Cette impression majeure heureusement n’est pas constante. Par intermittence le train traverse un vallon…
Le temps d’écrire, c’est déjà la très proche banlieue, les immeubles et usines enchevêtrés que scrute, apeuré, un ciel blême et moutonnant.
Encore quelques minutes puis je suis à destination. Je range ma plume-compagne.