Une banalité

En général, lorsque le corps va bien, comme c’est souvent le cas les 8 ou 9 dixièmes du temps, on trouve normal de vaquer à ses occupations, de faire ceci ou cela. Tout vous semble dans l’ordre des choses et on ne réfléchit pas davantage à ce bonheur que l’on ignore. Mais dès que la souffrance physique vous gagne, suffisamment pour empêcher quasiment toute activité, sauf à se concentrer sur

cette souffrance, par obligation, tant elle vous tourmente, alors on se dit que c’était super avant, quand on était inconscient de notre chance.
Y songera-t-on encore, une fois rétabli, ce que je souhaite à tous ceux que douleur afflige : rien n’est plus incertain. Dans mon « pays », celui que j’affectionne et qui me le rend bien par le sentiment d’appartenance et de bonheur qui m’envahit lorsque j’y remets les pieds, moi l’ėloignė, « l’apatride », la sagesse populaire dit : « un morceau avalė n’a plus de goût. »
Ainsi va la vie !
Je me réjouis toutefois de la mise en forme scripturale de cette banalité : le plaisir de « l’écrivant « . L’écriture me manquait ce matin.
À bientôt !

2 réflexions sur “Une banalité

  1. Cher Claude,

    Ton billet m’inquiète, serais-tu souffrant ? C’est vrai qu’à partir d’un certain âge, les douleurs s’installent et entravent la liberté de mouvement, c’est mon cas !

    Je te souhaite une meilleure santé, mon ami.

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  2. Cher Claude,

    Ton billet m’inquiète, serais-tu souffrant ? C’est vrai qu’à partir d’un certain âge, les douleurs s’installent et entravent la liberté de mouvement, c’est mon cas !

    Je te souhaite une meilleure santé, mon ami.

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