La taie grise sur tes eaux
Aperçue l’autre jour
N’a pas gagné la mienne rive,
S’est cependant étendue sur le plan.
Ce sont pollens que vent apporte (;)
Et ils te teignent ; t’es comme morte.
Mais la vie en canetons se réfugie
Qui trouent le voile, en nage lente.
Pour deux dans l’eau, courageux,
Ce sont quatorze sur la berge
Qui, immobiles, contemplent les deux frères,
Accablés par chaleur déjà forte.
Dans l’enclos, tout près,
Enfants admirent chèvres et boucs
Et moi, au banc ombragé,
Je médite la tranquillité
D’un lieu privilégié
Qui, un jour, croisa ma route.
Blog de Claude Colson, auteur. 
Bonjour Claude,
Vivement l’automne, que les canetons puissent s’ébattre tranquillement.
Bonne fin d’été à toi.
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Pareillement, l’ami .Merci de ta grande fidélité à ce blog.
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j aime votre poesie elle est sensible et intelligente a la fois de la facon simple ,precise lyrique que vous exprimez dans vos vers
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Merci. Elle est juste ressentie sur l’instant, sans retravail.
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