Résumé (fnac) :
« Nilse est beau, célèbre et adulé dans le monde entier. Il dispose des gens selon son humeur grâce à une carrière construite sur l’égoïsme et le narcissisme. En se promenant dans les rues désertes de Paris, sur un banc, il trouve un livre qui lui est dédicacé. En l’ouvrant, il ne peut soupçonner que toutes ses certitudes vont voler en éclats….parce que derrière chaque page se cache une vérité. »
(amazon)
Après ces deux premiers romans Une éternité plus tard et Elle était si jolie Nicolas Carteron signe avec Se souvenir des beaux lendemains un roman dans lequel il entraîne le lecteur en Europe pour une histoire menée tambour battant où il entremêle suspense, amour et rédemption.
Ma lecture :
Un livre un peu hors norme, un chemin initiatique, un roman de dés-apprentissage construit en jeu de pistes qui ramène un homme d’une existence factice à la vérité de lui-même.
Personnellement, j’ai suivi tout le début avec un intérêt moyen, je dois dire. Peut-être du fait de la structure quelque peu répétitive. Mais celui-là est allé très croissant dans le dernier quart car l’auteur a su relancer l’intrigue.
Post-lecture et à la réflexion il me semble déceler une petite invraisemblance, mais elle ne m’a pas sauré aux yeux en lisant.
Une découverte que je ne regrette pas.