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à chacun sa danse! Même si les cœurs hésitent, emportés par une étrange valse de circonstances, même si les corps se heurtent à l’implacable tempo du destin, la danse se poursuivra…trépignante de vie.
La chute du récit est inattendue, élégante comme un pas de tango renversé, furtive comme une révérence…Elle clôt à merveille cette escapade entre vie et mort si bien rythmée. Bravo ! C’est à lire !
En plus, le final est vraiment inattendu et agréable. Il clôt ce petit roman par un pas de danse théâtral et de circonstance.
Le personnage principal, attachant et opaque, manipule gentiment ceux qui l’entourent de très près comme de loin. Il mène le bal, dirige l’orchestre avec brio et il faut attendre la moitié du roman pour sentir que, mine de rien, ça va « tourner au vinaigre ».
Plus on avance en lecture et plus les personnages gagnent de l’ampleur et de la profondeur.
Pourquoi et surtout comment, l’inspecteur Delsault va – t-il se sacrifier sur l’autel de la passion?
Vous le saurez en suivant « les danseurs » du récit de Claude Colson qui progressivement, soulève le voile, avec précaution. L’histoire relatée dans un style soigné et contrôlé dans les moindres détails, nous laisse pantois!
Dire que « tel est pris qui croyait prendre » serait trop facile pour ce roman ou la vie et la mort valsent à chaque page, au point d’en perdre la boule. Un sacré bon moment de lecture.
J’aimais énormément votre plume au début, puis j’ai remarqué quelques éléments déroutants, comme l’introduction d’expressions courantes dans un langage plutôt soutenu.
Et si je peux me permettre, et je dis ça en toute humilité, je n’ai pas la légitimité pour dire une chose pareille peut-être, n’ayant jamais moi-même fini d’oeuvre, mais je trouve les dialogues surréalistes !
Du fait que je n’aie jamais rencontré de personnes s’exprimant comme Marie-Hélène ou Jean-Pierre, résulte que je n’ai pas réussi à être pleinement convaincue par les dialogues. Ils sont vraiment très peu naturels !!!
Enfin ça n’est que mon avis, et vraiment je le dis à ras du sol, dans l’humilité la plus complète, je ne fais que vous exprimer mon ressenti, je n’émets AUCUNE critique !D’autre part, il y a beaucoup de « Marie », dans votre oeuvre, ha ha ha !Il y a eu deux ou trois fautes d’orthographe et des passages de pensées non mis en italique, mais rien de « foufou » !Après, si je peux me permettre, mon avis mitigé est grandement lié à l’histoire. J’ai été presque choquée de lire les aventures de cette femme qui *************************************************************** ( Wink ), j’ai trouvé ça malsain ! Bien entendu, ce sera affaire de goût, et encore une fois je tiens à le rappeler, ceci n’est pas une critique de votre travail ou de votre histoire, c’est juste l’expression de l’émotion qu’a suscité votre livre pour moi
Au début, j’ai eu beaucoup de mal à m’imaginer l’histoire, or quand je lis, normalement, il y a l’adaptation en images dans ma boîte crânienne. Avec Aimez-vous la danse, ça n’a été le cas que vers la fin, lorsque l’on plonge un peu plus dans l’univers mafioso enfumé des années 50, à l’ancienne, avec des codes et une morale, qui m’a éééééénormément plu. J’ai été saisie par ces écrits là, je vous y ai trouvé un certain génie, une petite ambiance à la Le parrain, avec Don Corleone, Michael étant plus un voyou à mes yeux qu’un vrai parrain dans le sens « noble » du terme, mais passons.Le passage sur la douleur du fils était aussi poignant, il m’a saisie !!! Le ton était, j’ai trouvé, juste, j’en ai eu les larmes aux yeux !
Après, j’ai trouvé très inapproprié le « chevauchement » de MH dans ce cas de figure, et pourtant je ne suis pas une prude, croyez-moi, mais c’est fou ce que cette « gonzesse » m’a énervée dans ce livre ! oO Je suis rarement à l’aise avec les personnages féminins de toute façon, à part les miens, donc encore une fois, ici pas de critique, c’est juste « par rapport à [g]moi[/g] »Moi qui suis une grande sentimentale qui aime les histoires d’amour, j’ai trouvé celle du roman à la limite du superflu, votre oeuvre est, pour moi, avant tout une histoire d’amour père/fils !!
Très bien traitée, de surcroît.
J’ai trouvé aussitrès très dommage que vous n’ayez pas plus exploité le potentiel de l’intrigue avec Max, vous avez révélé rapidement son identité et ses motivations -que je trouve- très sommaires etau final, je trouve ce personnage « inutile », sauf votre respect, alors qu’il y avait de quoi signer un bon policier.Je pense que le fond est policier dans votre histoire, mais ce n’est pas le thème principal, toujours selon moi.Ah !, et la fin, parlons de la fin. J’avoue que je me suis laissée avoir comme une bleue, je me disais : « mais il va pas ***** **** *** quand même ! Le zigoto est un con mais quand même !
Et puis il est si indifférentqu’ça à l’idée de ******* *** *** !?!?!?!? », et quand j’ai lu la lettre en même temps queLionel -lol-,j’suis tombée des nues.j’me doutais qu’il se tramait quelque chose, mais je n’aurais pas pensé que ** ** ************, du fait qu’il semblait avoir accepté son sort et semblait vouloir vivre jusqu’au bout – en un sens, c’est tout à fait ce qu’il a fait, et je trouve que vous avez amené ça avec maestria.les personnages se sont aimés à une vitesse folle, imaginez-vous (dit-elle à l’auteur,ha ha ha), dès la seconde rencontre, dire àMH qu’il l’aime,JP a fait fort ! C’est, je trouve, à l’image des dialogues, un brin surréaliste ! Ça m’a pas mal gênée, lespersos n’ont absolument pas fait la démarche de se découvrir, je trouve, et c’est bien dommage. C’est trop « léger ». Mais ce n’est que mon avis bien sûr ! Je vous trouve en outre un certain talent pour décrire les sentiments amoureux et les ambiances sympa de bar à l’ancienne, et les ambiancesmafieuses d’antan, j’ai insisté là dessus mais je réitère.Et en fait en vous lisant, j’ai eu le sentiment que, plus qu’une implication, plus qu’une histoire plausible, vous vous faisiez littéralement plaisir, les passages physiques semblent parler de vos propres fantasmes si j’peux m’permettre, je le dis encore une fois sans prétention, mais tout ceci donne à votre histoire une dimension irréelle en quelque sorte, même si l’on est ramené à terre par l’ancre provençale, le terroir très présent, pour nous rappeler qu’est décrite dans dans l’oeuvre une réalité tangible.Enfin, c’est très perturbant, d’habitude, j’ai des avis totalement tranchés : soit j’adhère, soit j’adhère pas, je n’y vais pas par quatre chemins, et votre livre est bien le premier sur lequel je ne puisse me prononcer, et je dis ça de manière positive, c’est un compliment, j’ai beau émettre humblement un avis, il n’en reste pas moins qu’il est rare que mon clapet demeure fermé.
Ben là jen’saurais que dire.Voici pour mon avis, j’ai donc trouvé qu’il y avait du bon et du moins bon.
Un ex-flic à la retraite de 60 ans rencontre une belle jeune femme de 38 ans entre eux le courant passe immédiatement, une idylle s’instaure, pourtant des soucis liés à son âge et à son passé professionnel de flic resurgisse ! La Mafia ! Et puis il y a son fils de 30 ans ….
Mais ce roman raconte aussi la vie et ses problèmes, le cancer, le passé qui nous rattrape… Ce roman c’est juste la beauté de la vie mais aussi celle de l’écriture et c’est toute la force de l’auteur que de faire rêver même les plus jeunes malgré l’âge de son prince charmant !
Dans ce récit, Claude Colson nous entraîne dans une danse à trois personnages : un homme, une femme dont il tombe amoureux et son fils. Les chapitres courts se lisent facilement et on se plait à suivre les aventures des héros. C’est surtout le portrait de Jean-Pierre, homme dans la force de l’âge, qui sait faire preuve d’ amour filial et d’amour tout court qui m’a émue à la lecture d’ « Aimez-vous la danse ? ». Ce roman à l’écriture précise nous raconte une histoire sensible. Et après la dernière page, m’est revenue à la mémoire cette chanson » save the last dance for me » . Un bon moment de lecture .
A.S. : . : « j’ai passé d’excellents moments en lisant sur mon kindle « Aimez-vous la danse » de Claude
Colson. Ambiance et belle écriture » Après mes remerciements, la personne ajoute : » pour une fois que mon kindle m’a permis de lire une prose agréable et bien écrite, j’aurais tort de ne pas le mentionner. » et développe :
« Il s’agit là d’une drôle de danse ! J’avoue y avoir pris du plaisir tout en suivant le rythme et la cadence.
C’est facile à lire, il y a du suspense, des bons mots, ceux du moment, ceux d’avant et ceux d’après.
Le style est enlevé, les dialogues sont percutants.
Un bon moment de lecture »
Des critiques sympa dans le sens où elles ne sont ni trop pour ni trop contre, et il est vrai qu’une histoire d’amour n’est jamais perçue par tous de la même manière, ni par hommes ou femmes. Pourquoi ceci, pourquoi pas celà, comment se fait-il que? Bien normal. Mais le sentiment général est très positif!
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J’ai veillé à en mettre « de tout poil ». 🙂
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Finalement, même si je ne goûte guère les zistoires d’amour, je vais finir par me laisser convaincre de lire celle-ci qui semble bien atypique… 🙂
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Merci, Agnès. Tu donneras ton impression, si tu veux.
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