Je « connais » Claude Colson depuis longtemps sans jamais avoir eu l’occasion de le rencontrer. Et comme, seules les montagnes ne se rencontrent jamais et que nous ne sommes pas affligés d’un physique « himalayesque » (même s’il est temps de me mettre au régime), la rencontre s’est enfin réalisée… l’occasion était trop belle pour lui poser quelques questions…
1) Peux-tu nous présenter ta bibliographie ?…
– « Saisons d’une passion » (2002 puis Chloé des Lys 2007 – autofiction transgenre : récit, poésie, journal)
« Léna, une rencontre » (2006 puis Chloé des Lys 2009 – autofiction transgenre)
« Toi-Nous (Chloé des Lys 2009 – autofiction transgenre)
« Malgré tout (2012 – roman, réédité en 2014 sous un nouveau titre « La petite boutique des sentiments », puis en 2017 – Bernardiennes)
« La fin, les moyens » (2013 – roman, réédité 2016, augmenté, puis 2017 Bernardiennes)
« Chemins croisés » (La Rémanence, 2014 – récit)
« Aimez-vous la danse ? » (Hélène Jacob – 2014 – roman)
« Saisons poétiques en train » (Hugues Facorat – 2014 – poésie)
« Deux, pair et manque » (Langlois Cécile – 2015 – roman)
Beaucoup de mes textes sont en lecture libre sur atramenta.net
2) Tu as été édité dans différentes maisons d’édition et dernièrement chez Bernardiennes, pourquoi ce choix ?
– Je n’ai jusqu’ici pas eu accès aux « grands » éditeurs. Les petits éditeurs (j’ai dû en pratiquer 10 auparavant…) ne parviennent que très exceptionnellement à assurer un peu de diffusion aux livres, le monde de la librairie leur est fermé; il m’a semblé préférable et plus rentable de venir à l’auto-édition assistée, d’autant que je connaissais nombre de protagonistes de Bernardiennes avec lesquels j’entretiens des rapports de sympathie. Leur comité de lecture a accepté le premier titre que je leur ai soumis, puis un deuxième.
3) Que prépares-tu en ce moment ?
– Rien, à part quelques poésies : je voudrais d’abord sortir 2 livres terminés depuis 2016 : un recueil de poésie pour lequel le contrat est signé depuis 17 mois et qui n’avance pas, hélas… ainsi qu’un roman sur la situation un peu délétère des seniors dans nos sociétés occidentales, une fois qu’ils ont quitté la vie professionnelle. J’attends encore quelques réponses pour celui-là.
4) Quel est ton souhait le plus cher au niveau littéraire ?…
– Comme pour tous les auteurs : être lu; pas pour gagner de l’argent , on sait que l’auteur est le parent pauvre de la chaîne du livre, mais pour partager mon univers littéraire et par conséquent humain.
5) Sur une île déserte, quels sont les 7 (chiffre magique) livres que tu emporterais ?
– La question est trop difficile pour moi. Si tu permets, je préférerais citer 7 auteurs : Marguerite Duras, Nancy Huston, Philippe Claudel, Philippe Besson, Christian Bobin, Bernhard Schlink (Le liseur), Sylvie Germain, entre autres…
Pas Philippe Sollers, mon cher Claude ?
Je l’adore, et comme toi et moi on se ressemble un peu…
Joyeux Noël en tous cas !
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Je l’ai assez peu lu, trop peu. Bon Noêl, cher ramses.
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Ce polichinelle ne garde pas bien ses secrets, hein 😉
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