Ce récit autobiographique est un livre-hommage qui retrace 60 années d’amitié « cht’immi », une amitié qui se forma au milieu des années 50. Une bonne moitié du livre dépeint la vie lente d’une enfance des années 60 dans les grandes plaines du Nord : chevaux, battages, mœurs d’une époque où la télé n’existait pas encore. Il revient sur tous les bonheurs partagés, y compris dans l’espièglerie de cet âge.
Découvrez ici le 15 premières pages : http://www.editionsdelaremanence.fr/img/10008235-001/file/Extrait%20Chemins%20croisés.pdf
QUELQUES AVIS , avec à la fin quelques uns plus mitigés et l’un deux, beaucoup moins positif.
De B. : « J’ai aimé lire ton texte qui me permet d’en connaître plus sur toi (eh oui je suis curieuse comme une vieille chouette on se refait pas) et qui est émouvant dans le genre « les champs d’honneur » de Rouaud ou « je me souviens » de Pérec.
Je pense qu’il y a là, entre les souvenirs des années 60 et l’évocation sensible d’une belle amitié, une jolie matière. »
De M.P. : « Bonjour Claude. Je suis émue, très émue et j’ai même pleuré à la fin du livre. Quel merveilleux livre, si bien écrit, si fluide, si vrai ! J’ai été très touchée par le début,l’école, cette amitié profonde qui s’éloigne tout doucement avec le temps sans faire de bruit. Amitié si forte ! Ces mots qui décrivent la vie au quotidien ! J’ai été submergée par cette si belle histoire. Vous exprimez si bien « LA VIE » de chacun, la vôtre aussi et vous m’avez fait voyager. Je le relirai et je vais lire les suivants. Je n’ai eu que du bonheur ! »
De S. C. : « j’ai vu ,en lisant « Chemins croisés » que vous êtes un »vrai littéraire » ,sachant « manier la plume »… Votre livre est digne de figurer dans une bibliothèque de qualité. Je ne doute pas que vos nouveaux écrits aient la même qualité que les autres et que vous poursuiviez votre carrière d’écrivain avec succès . »
D’O. (sur le poème d’ouverture) : « C’est un beau texte, qui coule tout seul. Le thème est dur mais l’écriture est belle et forte. C’est peut-être lié d’ailleurs : c’est parce que le thème est dur que l’écriture est belle et forte… »
de C. L. : « Un livre plein d’émotion. Il arrive qu’un évènement dramatique, en l’occurrence, la mort d’un proche, d’un ami, nous replonge tout à coup dans le passé. Défilent alors les souvenirs, ceux que l’ont a vécus avec cet ami qui vient de nous quitter et nous laisse seul avec notre histoire. Réflexion sur la vie, la mort, sur le monde qui l’a vu grandir, sur le contexte historique de l’après-guerre avec ses bouleversements, Claude Colson nous offre un récit qui nous interroge, sans que l’on s’en aperçoive, sur les choses essentielles de l’existence, dans un style empreint de simplicité, de tendresse et de poésie qui sont aussi la force de ce livre. »
De G. L. : « J’ai aussi lu Chemins croisés. Il m’a beaucoup fait réfléchir sur l’amitié, sur ces amitiés qui traversent nos vies, de loin en même temps que de près, c’est très bien rendu dans ton livre, cette importance croissante de ce lien sans pourtant la nécessité d’une proximité régulière, cette intensité tout autant que cette part d’inconnu…Bien sûr ton livre fait référence au passé, mais j’ai eu le sentiment qu’il n’y avait pas de nostalgie, ni de propos langoureusement passéiste, que c’était juste la nécessité de dire le ciment qui fondait ces liens profonds. Tes écrits sont courts et concis mais ils donnent longuement à réfléchir…
Oui l’amitié c’est la vie… Dans Chemins croisés, Claude Colson relate le cours ordinaire d’une enfance ordinaire, dans le Nord de la France. Une enfance comme nous avons, pour la plupart d’entre nous, de sa génération, connue. Oui, mais cette enfance-là est extraordinairement précieuse et unique, puisque c’est la sienne, et que nous y recherchons aussi, la nôtre. Claude Colson réanime avec humanité les lisières d’un temps heureux. Une impérieuse nécessité de dire le ciment qui fonde les liens profonds d’une amitié qui n’échappe pas à ses limites, ses inévitables blancs, insouciances et manques. Car, si l’amitié est permanente et chaleureusement intense hors la nécessité d’une proximité régulière elle peut être, aussi, insuffisante et impuissante à colmater des désespoirs. C’est par amitié, qu’il faut en accepter la douloureuse limite.
Blog Cannibalecteur : « J’ai beaucoup aimé ce roman autobiographique qui mêle des faits historiques à des découvertes de régions ou de pays.Claude Colson présente admirablement bien la vie dans le département du Nord au cours des années 50. Dès que j’ai lu les premières pages du livre, il fut difficile pour moi de m’arrêter.J’avais envie d’en découvrir toujours plus, de voir jusqu’où pourrait aller cette amitié et surtout par quelles étapes elle allait passer. Cette histoire représente tellement bien ce que peut être l’amitié : une amitié très forte pendant la jeunesse, puis un éloignement et enfin des « Chemins Croisés ». J’ai été très touchée par le poème écrit pour Pierre au début du livre. Ce témoignage d’amitié est magnifique.Bravo à Claude Colson pour la qualité de son récit et merci à Mathilde Palfroy pour cette merveilleuse découverte.
De M. : « j’ai aimé ; l’ai lu d’une traite, ne voulait pas arrêter ; je le relirai plus calmement. » De M.-J. : » J’ai adoré ». De J.C. : » Très très bien écrit, mais très personnel ; difficile peut-être d’intéresser d’autres??? » De C. : « J’ai aimé lire le texte de Claude ». C’est un beau texte assurément, j’en aime beaucoup l’écriture
De N. : « Un peu avant les vacances, j’avais fini la lecture de ce récit autobiographique « Chemins Croisés » de Claude Colson qui rendait hommage à une amitié de 60 ans…Même si les faits relatés ne sont pas de mon époque, j’ai trouvé le récit touchant, les souvenirs empreints d’émotions et de poésie. Un texte qui nous exhorte – presque – à évaluer la place que nous accordons à l’amitié.Je suis toutefois restée sur ma faim. La fin brutale, plongeant le lecteur dans une dimension quasi policière dans ce livre, aurait pu être un peu plus approfondie… Ou était-ce un choix personnel de l’auteur? Il écrit : « Je me résignai à l’inacceptable, jusqu’à devoir l’accepter ». Et pourquoi accepter l’inacceptable?
Blog pages Blanche : « Récit autobiographique dans le Cambrésis d’une enfance rurale, d’amitiés aussi, fortes en apparence, durables pour la plupart jusqu’à l’âge mûr, fragiles aussi puisque l’auteur s’est retrouvé confronté à la douleur de perdre l’une d’elle de façon violente et inattendue. Ce livre se veut être un hommage à l’ami perdu. Que dire ? Plaisir de retrouver des souvenirs communs, de découvrir cette région du Nord souvent mal connue mais déception devant une écriture qui ressemble plus à une rédaction laborieuse d’un sujet imposé. Guère de place laissée pour le lecteur à une émotion véritable, une empathie. Oui les chemins n’ont fait que se croiser sans tracer une direction commune. Dommage ! Bon courage cependant à Mathilde car son entreprise est hardie et, je le reconnais humblement, impossible de juger sur une seule pièce. » «
Marlène 50 (sur babélio) : 3/5 étoiles ; « J’ étais très emballée à l’idée de lire ce livre.
Ai vraiment aimé les souvenirs d’enfance et d’adolescence de l’auteur, cela m’ a interpellé agréablement, avec ce qu’il fallait de nostalgie et d’émotion.
Cependant, la deuxième partie du livre m’a un peu déçu, j’ai trouvé cela trop anecdotique et sans vraiment la profondeur de sentiments que j’en attendais.
Cela dit ça reste un livre et un auteur à découvrir.
Un livre pour égréner les souvenirs de l’enfance, l’adolescence mais également les retrouvailles d’amis à l’ âge adulte.
En vieillissant on éprouve le besoin de raconter ses souvenirs les plus chers et les plus marquants. Ceux de notre enfance notamment et de notre jeunesse trop vite disparues.
Le temps passe si vite !
On a tendance à sublimer nos souvenirs, mais que cela fait du bien de fouiller sa mémoire, et d’y retrouver tous ces bonheurs grands ou petits qui ont fait notre vie ; et celui ou celle que nous sommes devenus.
La nostalgie nous touche avec plus ou moins d’acuité.
Pour certains, c’est un journal intime qui nous accompagneras.
Pour d’autres, la magie d’ un « Livre » que l’on partagera et qui restera dans les mémoires. »
alexbouquine (blog) :
Chronique de « Chemins croisés » sur le blog alexbouquine :
« Auteur : Claude Colson
Prix : 12€ (numérique 4,99)
Editeur : La Remanence Editions
Adaptation Cinématographique : Non
Genre : Récit autobiographique
Retour dans les années 50 !
Chemin Croisé est un livre très nostalgique plein de souvenirs…
Comme dans un journal intime, Claude Closon nous raconte la vie des années 50 dans le Cambrésis (Nord)
« Le décès soudain d’un ami de toujours m’a amené à prendre la plume… »
Entre amitiés, jeux de rue, catéchisme, les filles…
Claude Colson nous fait part de tous ses souvenirs d’enfance…
Dans ce livre nous suivons aussi sa vie d’adulte, sa retraite et le douloureux décès de son ami d’enfance Pierre.
Chemin Croisé est un livre exceptionnel que je vous recommande
Le livre est très bien écrit !
J’ai passé une très agréable lecture !
Je remercie les Editions de La Remanence.
Notre 19/20″
de C. :
« Je viens d’achever ma seconde lecture de « Chemins croisés », et comme la première fois, je suis émue par l’histoire d’amitié dépeinte dans ces pages. Dans une langue simple, élégante et fluide, le narrateur relate une amitié forte entre deux hommes. C’est un bel hommage. On est emporté par ces pages. Au début du roman, on aime la peinture d’une époque révolue, dans une région agricole, le Nord. On suit le parcours du narrateur depuis les premiers pas dans le monde du travail, jusqu’à la retraite. La lecture est si agréable que je ne me suis pas ennuyée une seconde, les deux fois où j’ai lu ce roman. Bravo Claude ! »
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(voir aussi sur ce blog la page dédiée au livre et un autre article dans la catégorie « L’auteur et l’homme que je suis »)
Ce livre, 110 pages, 12,00 euros en version papier et 4,99 en ebook est disponible aux éditions de la Rémanence, librairies, sites marchands…
Achat direct en ebook :
https://www.7switch.com/fr/ebook/9791093552064/from/claudecolson
En tout cas ce fut bon d’être jeunes quand nous le fûmes… !
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Tempi passati ! 😉
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