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« Françoise Bourdon
Françoise Bourdon est née et a toujours vécu dans les Ardennes. Professeur de droit et d’économie, elle décide, après dix-sept ans d’enseignement, de se consacrer exclusivement à sa passion de l’écriture. Elle publie son premier roman, Les Dames du Sud, en 1986, puis elle écrit La Forge au loup en mémoire de son grand-père, engagé volontaire à dix-sept ans, en 1915, qui lui a si souvent parlé de la « Grande Guerre ». C’est la première fois qu’elle écrit sur sa région natale, les Ardennes. Le livre rencontre un grand succès auprès des critiques et du public. Suivront :
- 2003 : Le Bois de lune, éd. Presses de la Cité, 295 pages.
- 2003 : La Cour aux paons.
- 2004 : Le Maître ardoisier, éd. Presses de la Cité, 326 pages.
- 2005 : Les Tisserands de la licorne, éd. Presses de la Cité, 360 pages.
- 2006 : Le Vent de l’aube.
- 2007 : Les Chemins de Garance, éd. Presses de la Cité, 263 pages.
- 2008 : La Figuière en héritage, éd. Presses de la Cité, 315 pages.
- 2009 : La Nuit de l’amandier.
- 2010 : La Combe aux Oliviers, Presses de la Cité, 294 pages.
- 2010 : Le Moulin des sources, éd. Calmann-Lévy, 288 pages.
- 2011 : Le Mas des tilleuls, éd. Calmann-Lévy, 320 pages.
- 2012 : Les Bateliers du Rhône, éd. Presses de la Cité, 268 pages.
- 2012 : Les Dames de Meuse, Éditions Omnibus, 864 pages.
- 2013 : Retour au pays bleu, éd. Calmann-Lévy, 300 pages.
- 2013 : La Grange de Rochebrune, éd. Calmann-Lévy, 300 pages.
- 2014 : Le Fils maudit, éd. Calmann-Lévy, 300 pages.
- 2015 : Les Sentiers de l’exil, éd. Calmann-Lévy, 400 pages. (source wikipédia)
Le vent de l’aube
(presses de la Cité) :
Extraits (sur babélio) :
Mon ressenti :
Ce texte m’a ému. Un roman pour bonne part régionaliste, où se côtoient sur une génération l’amitié, l’amour, la mort , la vie. Mais pas seulement. Un arrière-plan historique brassant le massacre des Arméniens en 1915, la montée du nazisme, la Résistance, Ravensbrück… et j’en passe. Tous faits historiques où l’Homme a pu faire montre de sa laideur mais aussi de sa grandeur.
Une langue simple et précise, belle, à l’instar de la beauté et de la rudesse de la Drôme Provençale de l’époque.
Je vous le recommande, pour un moment d’humanité.
Me voilà. Je te remercie de me signaler ce livre car je ne connais pas son auteur. D’après les commentaires, il réactualise une période qui fait parfois penser à la notre. Bises. Manou
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